La Sculpture du Vivant

Le suicide cellulaire ou la mort créatrice

Éditions du Seuil
1999, mise à jour
2003; 5ème éd. 2007, Points Seuil

Nous sommes chacun une nébuleuse vivante, un peuple hétérogène de milliards de cellules, dont les interactions engendrent notre corps et notre esprit. Aujourd'hui, nous savons que toutes ces cellules ont le pouvoir de s'autodétruire en quelques heures. Et leur survie dépend, jour après jour, de leur capacité à percevoir les signaux qui empêchent leur suicide. Cette fragilité même, et l'interdépendance qu'elle fait naître, est source d'une formidable puissance, permettant à notre corps de se reconstruire en permanence. A l'image ancienne de la mort comme une faucheuse brutale se surimpose une image radicalement nouvelle, celle d'un sculpteur au cœur du vivant, faisant émerger sa forme et sa complexité.

Cette nouvelle vision bouleverse l'idée que nous nous faisons de la vie. Elle permet une réinterprétation des causes de la plupart de nos maladies et fait naître de nouveaux espoirs pour leur traitements. Elle transforme notre compréhension du vieillissement.

C'est un voyage que propose ce livre. Un voyage à l'intérieur de nous-mêmes, de nos cellules et de nos gènes. Une plongée vers le moment où commence notre existence, à la rencontre du suicide cellulaire à l’œuvre dans la sculpture de notre corps en devenir; mais aussi une plongée vers un passé plus lointain, au travers de centaines de millions d’années, à la recherche des origines du pouvoir étrange et paradoxal de s’autodétruire qui caractérise la vie. Un voyage à la découverte de l’une des plus belles aventures de la biologie de notre temps. Comme toute exploration d’un pan inconnu de notre univers, ce livre nous révélera des paysages d’une grande beauté. Il nous permettra aussi de ressentir combien la science peut parfois entrer en résonance avec nos interrogations les plus intimes et les plus anciennes.

Il est question d’Alice de l’autre côté du miroir, d’Ulysse et de Pénélope et du chant des sirènes, d’Adam et Eve dans le jardin d’Éden, et de l’idéogramme chinois qui signifie ‘moi’. Il est question du jeu compliqué que la vie joue avec la mort depuis que le monde a commencé à être monde, de l’infiniment petit niché au sein de notre corps à l’infiniment grand de l’Univers. Et l’on pénètre dans ce vaste mystère à pas légers, comme dans une forêt épaisse dont l’auteur nous ouvre les chemins, à petites touches poétiques, et néanmoins rigoureusement scientifiques. […] La science sait parfois raconter de belles et vertigineuses histoires, à lire et à relire. Irène Bérélowitch, Eurêka

C'est un parcours long et sinueux, ‘fait de plongées à l'intérieur de nos corps et de nos cellules, de voyages à travers les branches du buisson du vivant et d'incursions dans les profondeurs du passé’. C'est un mystère au cœur du vivant, un périple vers la mort qui livrera peut-être à nos enfants les clés de la longévité. Le suicide cellulaire, terra incognita ouvrant depuis peu de nouvelles perspectives scientifiques, médicales et philosophiques, valait bien cette invitation au voyage. […] passionnant ouvrage […] Catherine Vincent, Le Monde

Mais la thèse de Jean-Claude Ameisen va plus loin : la mort est le principe même du vivant. Ariane Poulantzas, Télérama

C'est dans une vertigineuse réflexion philosophique que nous entraîne ce livre d'une savante limpidité. Gérard Badou, Le Nouvel Observateur

Un livre remarquable, qui donne à réfléchir sur la vie et sur la mort. Jean-Marie Moretti, Etudes

Ce n’est pas seulement à une vulgarisation scientifique de très haut niveau que nous convoque ce livre. C’est aussi une invitation à un voyage poétique et à une quête philosophique de nous-mêmes que nous propose Jean Claude Ameisen, médecin, chercheur, homme de culture. Charles Kermarec Librairie Dialogues
Un livre de science philosophique et poétique
. Charles Kermarec interviewé par Ruth Valentini, Le Nouvel Observateur

Lorsque l’on referme le livre, l’émerveillement du vivant se combine avec la satisfaction d’avoir rencontré un homme. par Jacques Lefèvre, Réflexion faite. L'essentiel de la pensée au service du management

Jean Claude Ameisen conte avec un style parfois lyrique, adapté à la dimension philosophique de la question, l'importance du suicide cellulaire. Guido Kroemer, Pour la Science

Ameisen nous propose un beau livre qui fait le point sur un domaine de la biologie et de la médecine en pleine expansion et en train de transformer notre compréhension du vivant. Bernard Mignotte, La Recherche

Ce livre passionnant qui prend la peine d'élever pas à pas son lecteur en usant d'abord de métaphores et d'analogies mythologiques pour le mener progressivement vers le concept et la science vivante […] Un livre décisif, dérangeant, à lire absolument, sans plus attendre, pour vieillir avec intelligence. Jacqueline Lagrée, Etudes

Un ouvrage qui tient autant d'un thriller moléculaire que de la meilleure littérature fantastique, d'une veine philosophique et poétique incomparable, celle qui nous fait rêver et réfléchir.
[…] l'apport incomparable de ce nouveau Livre de la genèse et de la saga du vivant
[…] les horizons vertigineux et presque illimités que nous dévoile l'auteur ne peuvent qu'exciter davantage encore la curiosité du lecteur et stimuler la réflexion […]
Hélène Goutal-Valère. Revue française de psychosomatique

Notre corps nous est inconnu, nous sommes embarqués avec lui dans une drôle de navigation à travers le temps. Pour s’en convaincre, il suffit de lire le très beau livre de JC Ameisen, 
La sculpture du vivant, Le suicide cellulaire ou la mort créatrice republié en poche récemment. Oui, lecteur, lectrice, chaque jour, plusieurs dizaines de milliards de vos cellules s’autodétruisent, et sont remplacées par des cellules nouvelles. A tout moment vous mourez, à tout moment vous renaissez. […] Ce suicide cellulaire, constant, devrait transformer notre vision des choses et de nous-mêmes : naissance, vieillissement, vie, mort, tout ce drame change de sens. Philippe Sollers. Journal du dimanche

C'est l'exploit de Jean-Claude Ameisen, d'avoir fait entrer la mort en science d'une façon qui non seulement évite la plupart du temps les dérives habituelles de ce type d'exercice, mais qui change véritablement notre perception de la vie et de la mort.
Jean Zin, Groupe de Recherche Inter et Transdisciplinaire - Transversales

La science comme un roman. […] un vrai chef d'œuvre. Guido Olivieri, 24 heures

C'est avec le regard du biologiste, l'esprit du philosophe et le langage du poète que Jean Claude Ameisen présente la théorie de la mort créatrice. F.D. Le Matin

Un livre passionnant. Farid Djilani-Sergy, Certitudes

La Sculpture du vivant est un grand livre de divulgation scientifique, et en ce qui me concerne, le meilleur qu'il me soit arrivé de lire ces derniers temps. Andrea Sarti, Tageblatt

Ameisen ha scritto un testo teorico-divulgativo tra i più belli e originali degli ultimi anni. Gilberto Corbellini, Il Sole 24 Ore

Una delle cose più interessanti di tutta questa storia, narrata con molto rigore e maestria nel libro di Ameisen, è che tutti questi geni sono stati originariamente individuati in organismi estremamente diversi da noi […]  organismi che si sono rivelati e si rivelano d’enorme importanza per la comprensione della nostra biologia, e in definitiva della nostra stessa natura. Edoardo Boncinelli. Corriere della sera

Ameisen non vuole privarsi della potenza emotiva del linguaggio e non la censura: ne ha bisogno - e con lui tutta la biologia, sottintende - per guardare e dire la morte come agente di vita.
Sylvie Coyaud, Le Scienze

Un testo scientifico che si fa leggere con estremo piacere, perché l'autore ci conduce nei più profondi misteri della biologia, usando miti, esempi, riferendo ricerche sue e di altri studiosi con lo stupore e la semplicità di un bambino. Francesca Amoni, Il Giorno

Come tutti i grandi testi scientifici, è anche e sopratutto un'opera filosofica. Un affresco capace di modificare in profondità l'immagine che abbiamo di noi stessi e del mondo. Pietro Greco, Il Manifesto

Un testo affascinante come un romanzo.
Franco Prattico, La Repubblica

Un esamplare saggio di divulazione scientifica. L. Simonelli, La Stampa

A book that is bound to become a guide in this sector. […] At the end of this journey the reader is left with a sense of astonishment and an inner awareness that nothing will ever be again as it used to appear. Luisa Miccoli, Leadership Medica

Per spiegare il processo di autodistruzione cellulare, Jean Claude Ameisen, medico e ricercatore, autore del pluripremiato libro Al cuore della vita, riprende un'immagine tratta dalle avventure di Alice nel paese delle meraviglie. Margherita Bologna, Res Cogitans

Lo scopo della morte, la sua nascita e, in un senso per niente paradossale, la sua funzione creatrice, sono le tappe percorse da Jean Claude Ameisen, nel suo libro straordinario
Al cuore della vita.
Ugo Leonzio. L'Unita

[…] Così scrive Jean Claude Ameisen nel suo best-seller Al cuore della vita – Il suicidio cellulare e la morte creatrice. Ameisen ha messo la sua notevole capacità di scrittura e le sue altrettanto notevoli conoscenze filosofiche al servizio dell'elaborazione di uno dei concetti più rivoluzionari della biologia molecolare. Sabina Morandi, Informascienza 

Ciò che propone il libro è un viaggio alla scoperta di una delle più belle avventure della biologia del nostro tempo che ci permette anche di provare quanto la scienza può talvolta entrare in risonanza con i nostri interrogativi più intimi e più antichi. La scienza sa, qualche volta, raccontare delle belle e vertiginose storie da leggere e rileggere tutte d' un fiato. L'autore ha realizzato un vero capolavoro fornendoci un testo scientifico che si legge come un romanzo avvincente tra i più belli degli ultimi anni; con un talento pedagogico notevole, senza usare un vocabolario tecnico, mette alla portata del profano le scoperte recenti in questo campo. Lavoro notevole, che ci porta a riflettere sulla vita e sulla morte, trascinandoci in una vertiginosa riflessione filosofica, servendosi di una esposizione limpida ma dotta
. Gian Carlo Mancini, www.galileo.it

Recensions sur des sites d’éditeurs et libraires
- Amazon.fr, présentant quelques recensions du livre ainsi qu’un commentaire d’un lecteur d’Amazon : « Dans la lignée de François Jacob, Richard Dawkins et S J Gould », 15/3/2006.
- Feltrinelli, comprenant une présentation complète du livre avec extraits et recensions, ainsi qu’un enregistrement de la présentation par JC Ameisen de La sculpture du vivant / Al cuore della vita à la Libreria Feltrinelli, piazza Duomo (interprète: Silvana De Amicis) 
- Katalibri
- Supereva
- .LiberOnWeb

Produit par L'Oeil sauvage et France 5, le film Le Dur Désir de Durer, de Bernard Bloch, fondé sur le dernier chapitre de La Sculpture du vivant, a reçu le Prix Art au 3ème "International Science Film Festival" d'Athènes.

photo par David Ameisen

e-mail : ameisen.jc@gmail.com

Jean Claude Ameisen, médecin et chercheur, est professeur d’immunologie à l’université Paris Diderot et au Centre hospitalier universitaire Bichat, président du comité d'éthique de l'Inserm et membre du Comité Consultatif National d'Ethique.
Ses travaux font de lui l’un des meilleurs spécialistes de la mort cellulaire programmée.

Liens vers

Les nouveaux chemins de la connaissance par Raphaël Enthoven, émission du 28/01/09, La Bioéthique 1/5. La mort cellulaire. Avec Jean Claude Ameisen

La 29e conférence Marc Bloch, « Nous vivons dans l'oubli de nos métamorphoses. La mort et la sculpture du vivant », par JC Ameisen, sur le site de l'EHESS. Mardi 12 juin 2007.
"... pour la première fois dans l’histoire de la Conférence, nous accueillerons un savant venu non pas des sciences sociales, mais des sciences de la vie. Jean Claude Ameisen, médecin et biologiste, est l’auteur de La sculpture du vivant. Le suicide cellulaire ou la mort créatrice, il est l’un des grands spécialistes mondiaux de l’apoptose, ou mort cellulaire programmée. Ce moment sera l’occasion de marquer avec un éclat particulier notre souhait – également affirmé dans notre contrat quadriennal et lors de nos journées de rentrée, en novembre dernier – que l’École [l'EHESS] puisse constituer un lieu privilégié de l’interlocution entre les sciences humaines et sociales et les autres sciences. Interlocution, plutôt qu’interface : pour parvenir à construire une relation d’échange et d’interpellation réciproque, il est nécessaire de tenir à distance le rapport fasciné et paralysant que développent couramment les sciences sociales à l’égard du modèle d’objectivité qu’elles prêtent aux sciences dites "dures". Et il n’est pas moins nécessaire de résister, en même temps, à l’enfermement des sciences sociales dans la position ancillaire que ces mêmes sciences dures sont parfois portées à leur assigner, entre études d’impact et supplément d’âme éthique. Le dialogue passera notamment, grâce à Jean Claude Ameisen, par l’interrogation des représentations, et par la mise à jour des agencements et déplacements de langage qui commandent la construction et la reconstruction des objets dont traitent les sciences de la vie : l’origine et l’évolution du vivant, la frontière entre l’animé et l’inanimé, le lien – qui n’est pas de simple dégradation – entre le vieillissement et la jeunesse, etc. Faisant jouer des variations d’approche de plus en plus subtiles, le biologiste s’emploie à restituer, à travers les recompositions successives de ses objets, la complexité des rapports entre la vie et la mort, au-delà de l’antinomie tracée entre deux états exclusifs l’un de l’autre. Cette complexité s’inscrit – au cœur de la cellule aussi bien que dans la trajectoire lointaine de l’évolution – dans le pouvoir d’autodestruction qui lie indissociablement la vie à la mort. Le retour réflexif sur les logiques de ces variations de point de vue et de ces recompositions d’objets ouvre la question de l’émergence et de la transformation des concepts scientifiques : une question qui est, par excellence, le lieu de l’interpellation mutuelle des sciences humaines et sociales et des autres sciences." Editorial de Danièle Hervieu-Léger, présidente de l'EHESS In: La Lettre de l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales n° 12, Avril 2007.

The Cell Death Society has been formed for the purposes of promulgating a better understanding of the mechanisms of cell death and apoptosis, establishing communication among the various branches of the research, and communicating and coordinating the application of research findings in biology and medicine.

Cell Death and Differentiation: http://www.nature.com/cdd

The 100th anniversary of Ilya Ilyich Metchnikoff’s Nobel Prize was celebrated at the Institut Pasteur, Paris on April 2008, with the symposium, Metchnikoff’s Legacy in 2008 organised by Matthew Albert, Marc Daëron, James Di Santo, Philippe Herbomel, Marc Lecuit and Geneviève Milon.
Invited speakers: Alan Aderem, Jean Claude Ameisen ("On the origin, evolution and nature of programmed cell death"), Sebastian Amigorena, Bonnie Bassler, Sydney Brenner, Max Cooper, Betty Diamond, Gerald Edelman, R. Alan B. Ezekowitz, Michel Fougereau, Jeffrey Gordon, Alan Hall, Michael  Hengartner, David Hume, Richard Lang, Michel Mallat, Margaret Mcfall-Ngai, Lynn Margulis, Paul Martin, Marie Meister, Ira Mellman, Matthew Meselson, Shigekazu Nagata, Carl Nathan, Michel Nussenzweig, Jeffrey Pollard, Michel Rabinovitch, Jeff Ravetch, Arthur Silverstein, Ralph Steinman, Joel Swanson, Alfred Tauber, Irving L. Weissman.

Dans la Lumière et les Ombres. Darwin et le bouleversement du monde Fayard/Seuil. (22 octobre 2008, 2ème éd. 15 janvier 2009).
Cuidado (« sois prudent »), écrit le jeune Darwin dans ses carnets secrets. Révéler ses idées serait « comme confesser un meurtre ». Et il les développera en silence.
La publication de sa théorie bouleversera notre vision du monde. Le passé se recompose, modifiant le présent. Nous partageons soudain avec l’univers vivant une généalogie commune. Faite de transformations et de métamorphoses.
Ce livre est un voyage. À travers l’espace et le temps. A travers la lumière et les ombres. À la rencontre d’une révolution scientifique toujours plus riche, toujours en devenir. À la rencontre aussi de la longue nuit de notre histoire, où la science légitimera la négation de la vie et de la dignité de tant d’êtres humains. Un voyage à travers la mémoire et l’oubli. A la recherche de l’empreinte en nous de ce qui a disparu, de ceux qui ont disparu.
Nous sommes faits de ce qui a donné naissance à l’ « infinité des formes les plus belles et les plus merveilleuses ». Aux bactéries et aux fleurs, aux oiseaux et aux arbres. Et pourtant nous sommes autre. Nous sommes faits de l’histoire des cultures humaines. Et pourtant nous sommes autre. Toujours nouveau.
Ce livre est une plongée dans le récit tumultueux de nos origines. Non pour nous y enfermer. Mais pour y découvrir cet émerveillement « d’arriver à l’endroit d’où nous sommes partis et de connaître le lieu pour la première fois ». Et retisser, chaque jour, les liens qui fondent notre commune humanité. Dans le respect de l’extraordinaire vulnérabilité de ceux qui nous ont fait naître, de ceux qui nous entourent, et de ceux qui nous survivront.
Recensions et émissions de radio
Le Temps, 12 février 2009. Interviews : Jean Claude Ameisen s’exprime à propos de Charles Darwin

Les Couleurs de l'Oubli
Editions de l'Atelier. (30 octobre 2008)
« Il s’agit d’un livre d’art, mais aussi d’un étonnant parcours, souvent bouleversant, dans la vie des personnes âgées dépendantes et atteintes de la maladie d’Alzheimer. Ce livre est somptueusement beau. Au fil des pages, quarante peintures sont présentées, exécutées par ces personnes sous la direction de François Arnold, artiste peintre. Tout y invite au déplacement du regard : un chat bleu, un coq qui déploie ses couleurs de feu, des paysages d’une rare inventivité, quelques natures mortes qui n’ont de mortes que la dénomination, tant elles sont vives. Un déplacement, un voyage. Portées par la puissance poétique et évocatrice du texte de Jean Claude Ameisen, médecin chercheur, ces peintures vous inviteront à changer votre regard, le regard habituellement porté à tort par la société sur les personnes âgées en situation de dépendance et atteintes de la maladie d’Alzheimer. » Bruno Gaurier.
L'intégralité des droits d'auteurs du livre Les Couleurs de l'oubli sera versée à l'association l'Arbre à Mains.
Extraits de l’ouvrage.
Les Couleurs de l'Oubli - 1

Les Couleurs de l'Oubli - 2

 

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